Des vies changées grâce au don d’organes et de tissus

Voici Ryley

Ryley n’avait que deux mois quand elle est tombée gravement malade. C’est aux urgences que sa maman, Joanna, a entendu les mots « cœur hypertrophié ». Elle se souvient avoir demandé au médecin : « Donc, vous me dites que mon bébé va mourir ?» Et il a répondu : « Non. Mais il y a de fortes chances qu'elle ait besoin d'une transplantation cardiaque. » »

Joanna et son mari vivaient dans un hôtel près du centre de transplantation lorsqu'ils ont reçu un appel à 2 heures du matin leur annonçant qu'un cœur était disponible pour Ryley. Vers 21h30 cette nuit-là, ils ont pu voir leur fille après sa greffe. "Elle était sous respiration artificielle... mais elle avait un beau teint rose. Et elle était tellement magnifique."

Depuis sa greffe, Ryley mord dans la vie. C'est une petite fille active, aimante et courageuse. Ayant fait face à la peur de perdre son propre enfant, Joanna est très reconnaissante envers la famille du donneur et encourage tous les Ontariens à devenir donneurs d'organes enregistrés.

« Si vous aviez besoin d'un organe, en prendriez-vous un ? Si votre réponse est oui... pourquoi ne partageriez-vous pas les vôtres pour sauver la vie de quelqu'un d'autre ? Ça ferait de vous un héros. »

Voici Mohan

Lors de sa deuxième année de pré-médecine à l’Université du Manitoba, Mohan a remarqué que sa vision était un peu floue. Peu de temps après, on lui a diagnostiqué un kératocône, une maladie oculaire dans laquelle la cornée devient plus fine et prend la forme d'un cône, ce qui altère la vision. Ne sachant pas dans quelle mesure il perdrait sa vision, Mohan a décidé de quitter la médecine et de se diriger vers le monde des affaires. Il se souvient encore à quel point il se sentait incertain quant à son avenir : « Il n’y avait pas de solution permanente à l’époque… Quand ça arrive, vous êtes dans un état de détresse émotionnelle. Vous ne savez pas à quoi ressemblera l’avenir. »

Même si son changement de carrière ait été déchirant à l’époque, les greffes de cornée de Mohan lui ont offert la vie qu’il a toujours espéré vivre.

Voici Andrea

Tout a commencé avec des symptômes étranges. Un problème de vision périphérique. De la difficulté à ouvrir de petits emballages. Une douleur aiguë du côté gauche. Andréa savait que quelque chose n’allait pas.

«Quand je suis arrivée à l’hôpital, j’avais un rythme cardiaque de 130 battements par minute au repos.»

C’est ce jour-là qu’Andrea a reçu un diagnostic de cardiomyopathie dilatée. Et elle s’est vite rendu compte que seule une transplantation cardiaque lui permettrait de retrouver “sa vraie vie”.

Heureusement, elle a bénéficié d’un don. Après la greffe, elle a immédiatement remarqué une différence. «La première chose que j'ai remarquée, c'est que j'avais un battement de cœur, et c'était si fort… Je savais que, maintenant, j'avais un cœur fort.»

Même si ce fut une période de réjouissance pour Andrea et ses proches, elle pense souvent à la famille de son donneur et à son chagrin. « Je pense tout le temps à eux. Je veux les rendre fiers en vivant et en prenant soin de ce qui m'a été donné.»

Voici Justin

Il n’avait que 10 ans quand l'hôpital a déterminé que la bactérie streptococcique contractée par Justin avait déclenché une maladie auto-immune, qui avait commencé à attaquer ses reins. Il se souvient très bien du jour où sa mère lui a dit qu'il devrait suivre une dialyse.

C’est qui n’est pas une vie très amusante. Sans reins fonctionnels, on ne peut même pas boire un verre d’eau. Tout est difficile quand on n’a pas le contrôle de sa vie.

En 1984, Justin a reçu sa première greffe de rein. Elle a changé sa vie. Il l’a vu de ses propres yeux ; le changement incroyable qu’une greffe apporte à ceux qui en ont besoin.

Justin dit : « Pour moi, donner un organe pour sauver la vie de quelqu'un est l'expression ultime d'un amour bienveillant et inconditionnel. Les mots ne peuvent décrire ce que cela signifie pour moi, pour ma vie et celle de mes filles.»

Prenez 2 minutes pour vous inscrire. Ça pourrait sauver une vie.

  1. Entrez vos informations de base, dont votre date de naissance et votre numéro de carte santé. Vous devez avoir au moins 16 ans.

  2. Enregistrez votre consentement ou voyez l’état de votre enregistrement avec la province de l’Ontario sur le site ServiceOntario.